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lundi 22 octobre 2018

CLONAGES D'HUMAINS EN LABORATOIRE


LE MONDE SCIENCES: Des chercheurs chinois obtiennent des souriceaux à partir de parents du même sexe
 « C’est la première fois que l’on parvient à supprimer les barrières naturelles qui, jusqu’à présent, empêchaient deux mammifères de même sexe de se reproduire entre eux », a annoncé le journal Le Monde.
 Les deux souris ne se sont toutefois pas vraiment « reproduites entre elles ». Des scientifiques ont prélevé sur elles des cellules souches. Après modification de certains gènes, ils ont réalisé un clone avec la moitié du patrimoine génétique de chaque souris.
Notre façon de nous reproduire est dépassée !
N’empêche ! Le fait est que les scientifiques ont prouvé une nouvelle fois que notre façon de nous reproduire pourrait bientôt paraître complètement dépassée. Nous sommes battus en brèche par la technique !!! Au diable les vieilles méthodes de grand-papa pour avoir des enfants ! 
 Ce que nous ne pouvions pas faire (nous reproduire entre personnes du même sexe) est désormais possible. Ou, du moins, à portée de la main, car il faudra quelques années pour passer de la souris à l’être humain.
 Maintenant, la question qu’on peut se poser est : pourquoi font-ils cela ?
Un progrès pour l’égalité entre les sexes ?
On peut voir cette nouvelle technique comme un jalon supplémentaire sur la voie de l’égalité entre les sexes. Mais on peut craindre une vision beaucoup moins « rose », si j’ose dire.  En effet, ce n’est peut-être pas un hasard si ces progrès toujours plus audacieux sur la reproduction ont lieu en Chine.
La Chine, pays où les humains sont traités comme des choses au service de l'Etat
Rappelons que la Chine est une dictature qui a tendance à traiter ses citoyens comme de la « matière première » au service du parti unique.
Selon les époques, la population est massacrée (Grand Bond en avant, Révolution culturelle…), la surnatalité obligatoire (« Un enfant, c’est une bouche, mais c’est aussi deux bras », disait Mao) ou alors quasi interdite (politique de l’enfant unique depuis Deng Xiaoping). Ce qui frappe quand on lit l’histoire récente de la Chine est l’indifférence apparemment totale des dirigeants chinois au bien-être de la population. Priorité est systématiquement donnée à l’idéologie et à la puissance du parti central, les personnes n’étant qu’un moyen pour étendre l’influence des dirigeants et le prestige national
Autre exemple en ce sens dont on en parle bizarrement très peu en Occident : la population chinoise sert actuellement de matériau à la première expérience grandeur nature de « dictature informatique totale » :
Dictature informatique totale
Plus de 200 millions de caméras à reconnaissance faciale ont été installées à travers le pays pour un suivi à la trace des citoyens 24 h sur 24, où qu’ils se trouvent. Leurs moindres faits et gestes, paroles, consultations de sites Internet, achats, sont enregistrés par un système centralisé qui attribue une « note de crédit social » à chaque citoyen. Vous commencez avec un capital de 900 points, qui diminue chaque fois que vous faites ou dites quelque chose jugé indésirable par le régime. Pire : votre note baisse aussi si quelqu’un de votre entourage (famille, ami, collègue, contact sur Internet) fait ou dit quelque chose jugé contraire aux intérêts du Parti. Plus votre note baisse, plus vous vous rapprochez de la mort sociale : retrait de votre passeport, perte de votre travail, de votre maison, perte du droit de louer ou conduire une voiture, de louer une chambre d’hôtel, de prendre le train… Considéré comme un « parasite social », celui qui perd ses points disparaît ou rejoint les camps de rééducation, où 1,5 million de personnes sont déjà internées.
Je vous invite à regarder les images stupéfiantes de ce système de surveillance généralisé digne de Matrix.
Bientôt des usines pour fabriquer des humains ?
Bref, plus que jamais la Chine de 2018 traite ses citoyens comme des choses, des objets qu’on peut jeter à la poubelle quand ils sont considérés comme inutilisables ou viciés.  Dans cette perspective, l’intérêt du gouvernement chinois pour les techniques de reproduction, ou plus exactement de fabrication d’êtres humains en laboratoire – et demain, peut-être, en usine –, est particulièrement inquiétant.
La dernière barrière au projet de soumission totale des individus au Parti communiste reste les solidarités familiales, le réflexe archaïque de protection que des parents peuvent éprouver pour leurs enfants, et vice-versa. Envoyer des gens dans des camps continue de poser problème lorsqu’ils ont des parents, des grands-parents, des frères ou des sœurs, ou des cousins, qui s’inquiètent pour eux et risquent de protester. 
Fabriquer des êtres humains hors d’une généalogie clairement identifiée est au fond le meilleur moyen d’avoir à disposition une population encore plus soumise. Vous pourrez faire d’eux n’importe quoi, car ils n’auront plus de liens de solidarité profonds avec des personnes prêtes à tout pour les défendre, comme une mère ou un frère.
La dictature chinoise n’est pas la seule…
Je ne vais pas accabler les Chinois toutefois, car les autres pays ne font pas toujours mieux.
 Aux États-Unis et en Europe, on observe aujourd’hui clairement une volonté de créer de tels individus sans racines, privés de cadres sociaux protecteurs.
Des biologistes britanniques ont créé en 2016 une matrice artificielle permettant de « cultiver » des bébés jusqu’à plusieurs semaines après la fécondation [4].
Sachant que les premiers jours de la vie sont les plus délicats, il semble qu’il n’y ait plus véritablement de frontière (autre que légale) empêchant de faire pousser des bébés dans une machine jusqu’à maturité
Le médecin Jean-Yves Nau explique que les scientifiques ont déjà réalisé « les premiers pas de l’utérus artificiel ».
« (L)a “grossesse artificielle” n’est plus ni un tabou ni un simple fantasme. Assurer in vitro l’ensemble des fonctions physiologiques normalement remplies par le placenta et l’utérus entrera progressivement dans le champ des possibles. On n’est ici, toute proportion gardée, qu’à un degré supérieur de complexité par rapport à celle du rein artificiel », écrit-il.
Des enfants sans nombril
Les fœtus ainsi obtenus ne seront néanmoins plus reliés à une mère par un cordon ombilical, puisque la machine leur apportera directement tous les nutriments nécessaires à leur croissance :
« Les enfants nés d’une machine auront des organes génitaux mais pas d’ombilic », avait expliqué, lors d’un congrès de bioéthique organisé en 2004, Rosemarie Tong [6], féministe et spécialiste de bioéthique (université de Caroline du Nord). « Ils seront de simples créatures du présent et des projections dans l’avenir, sans connexions signifiantes avec le passé. »
Combien de temps dureront encore les interdictions légales ?
Dans le domaine de la biologie reproductive, on sait ce que valent les « limites légales ». Les comités d’éthique, censés freiner les innovations allant à l’encontre de la dignité humaine, se sont montrés remarquablement inopérants. De toute façon, il semble qu’il y aura toujours un pays, une région, un laboratoire, qui se permettra d’aller aussi loin que la technique le permettra, toujours en invoquant les nécessités de la recherche contre l’autisme, la mucoviscidose ou autres, et sans, d’ailleurs, qu’aucun progrès ne soit réalisé dans ces domaines. 
Si j’étais dictateur, en tout cas, et si j’avais un énorme problème d’ego me poussant à désirer des millions de créatures soumises, nul doute que je serais très intéressé par ces « progrès scientifiques », m’offrant la perspective de me créer une armée renouvelable à l’infini grâce à des usines à êtres humains. 
Mais ce qui est clair, c’est que la vision selon laquelle la recherche sur les embryons a pour but premier le bien de l’humanité et la lutte contre les maladies paraît de moins en moins crédible.
À votre santé ! Jean-Marc Dupuis


Je vois déjà dans les news = 6 esclaves chinoises clonées du harem du secrétaire du parti l'ont étranglé cette nuit et ont découpé son corps pour le dévorer crû et vif.
Ben oui, en Chine, la nourriture ne se perd pas ! hi hi hi !
"Bien fait pour ce pauvre con", déclare l'une d'elle,
"Nous sommes 30 000, et cette nuit nous avons nettoyé la Chine de ses cadres dirigeants, la révolution est en marche. Messieurs" hi hi hi !
Ça me donne l'idée d'un roman, (si j'ai encore le temps d'écrire) 

dimanche 21 octobre 2018

INTELLIGENCE ARTIFICIELLE


L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE
De l’intelligence
Avoir l'intelligence d'une chose, c'est savoir exploiter cette chose (l'aquarelle, les maths, la sottise des autres, leurs émotions, leurs pathologies, la synesthésie, les sophismes, le rêve lucide, votre champ sémantique holistique, vos structures mentales, les interactions harmoniques, l’état ataraxique de pleine conscience, etc.). Etre intelligent tout court, serait savoir tout exploiter. Je dois avouer que malgré mes nombreux talents et mon QI à faire peur, je ne suis pas intelligent, donc je n'emploie ce terme que dans la première formule (le syntagme: (l'intelligence de)). Quant-à l'IA, son intelligence se limite à l'exploitation de ses algorithmes embarqués. Elle est donc très bêêête et ignorante de la réalité de tous nos mondes, physique et mentaux. Donc soyez sans crainte, nous lui réglerons son compte quand elle aura terminée la petite affaire de détruire ses créateurs.
Le codable et le non codable
La question « Qu’est-ce qui dans l’intelligence humaine n’est pas codable en langage informatique » est très mal posée, dans le but pervers mais astucieux de notre ami Antoine Valabregue de faire réagir ses amis. Je l'aurais posée en ces termes = Qu'est-ce-qui dans le mental humain n'est pas codable en langage informatique ? Je répondrai : Tout sans exception, car nos qualia, ne sont pas codables et échappent à tout traitement de l'information, de l'aveu même de Stanislas Dehaene. Seul le physiquement mesurable est codable, les signes sont codables mais pas le sens que nous leur donnons. La pensée holistique non verbale est encore moins codable par l’informatique. Nous sommes des êtres sémantiques et appartenons à des mondes subjectifs (du sujet et non du jugement du sujet) qu'un robot zombie ignorera à jamais, et le sens même que nous donnons au signe (ignorance).
Performances attendues d’une machine
Faire du radiodiagnostic ? Le corps humain est physique de même que ses pathologies somatiques. C’est donc du domaine d'une machine, du programmable et de l'action répétitive. Ce n'est pas la complexité des résolutions qui fait la différence entre les capacités d'une machine et de l'homme, c'est leur domaine d'appartenance = l'un physique (dont le biologique) l'autre mental. Une machine ne saura jamais traiter des cas psychiques lourds, car le problème est mental, sensible complexe non mesurable, ni observable physiquement (sauf ses conséquences somatiques), ce n'est pas de son domaine. Inconsciente et insensible, notre monde lui restera étranger à jamais. Maintenant, ces neuropsychologues et ces computationnalistes qui ignorent tout du mental humain, et même nient son existence, ne peuvent pas le comprendre, et croient que leur projet d'IA pourra faire tout ce que l'homme sait faire, ignorent ce que l'esprit humain sait faire, et encore plus comment il fait. D'où les délires sur l'IA et les robots qui envahissent actuellement les médias.
Cette image n’existe ni dans la nature, ni dans votre ordinateur, ni dans votre cerveau, elle n’existe que dans votre mental. La couleur rouge n’existe que dans votre mental, dans la nature il y a un rayonnement électromagnétique d’une certaine longueur d’onde, dans votre ordinateur un code informatique et dans votre cerveau un code neuronal, mais ce ne sont pas du rouge. De plus, il nous est impossible de comparer votre rouge au mien, et de savoir s’ils sont identiques. Par contre, une encyclopédie informatique pourra sortir de sa mémoire que cette image date du 10éme siècle et qu’elle provient d’un temple tibétain, elle vous propose du traitement de texte vide de sens pour elle. L’informatique n’est que traitement automatique d’informations qui n’ont de sens que pour l’esprit humain.

vendredi 19 octobre 2018

LA SOURCE DU VIVANT


LE CENTRIOLE
Vous avez reconnu le centriole, un organite présent dans chacune des cellules de notre corps et dans toutes les bactéries depuis le DACU-LUCA, immuable depuis plus de 4 milliards d'années. C'est une merveille d'architecture analytique : 27 tubules associés en neuf groupes de trois, hiérarchisés A, B, C et de nombreux liens (nous sommes donc en base 27 et non en base 2, sans zéro car dans le réel il n'y a pas d'absence). Le centriole est un système de codage et de stockage de l’information. Son premier disque peut comprendre 999 codes différents, deux disques associés en distinguer jusqu'à 10 puissance 10 moins 1. Nous ignorons combien il y a de disques opérationnels dans cette architecture géométrique, et ce qu'ils contiennent exactement. Nous pouvons imaginer que son potentiel soit proche de la mémoire de l'univers. Et il pourrait fonctionner à une vitesse proche de la vitesse de la lumière. En résumé, ne méprisez pas ces petites bactéries, elles possèdent un outil informatique plus puissant que tous les ordinateurs du monde.
Cependant, le système de codage le plus perfectionné de l’univers reste un système inerte et donc mort, un boulier stérile si rien ne venait l’animer. Une cellule biologique est un ensemble organisé de molécules chimiques, ne possédant pas plus que d’autres de motricité interne, soumises aux forces déterminantes de la physique. Pour que ce système s’active et que la cellule devienne une entité vivante, il faut donc qu’elle possède une source d’animation indépendante, des intentions, des désirs, une fonction analytique, une autre qui juge ce qu’elle fait et la guide, enfin une conscience qui révèle et partage tout ce que ces fonctions font. Cette source ne pouvant être interne à la chimie de la cellule est nécessairement externe et mentale. Le centriole est en fait une interface de transfert d'informations et d'instructions entre deux natures : La nature physico-biologique inconsciente de la cellule et sa nature mentale consciente.

dimanche 7 octobre 2018

DES ROBOTS ET DES HOMMES

L'INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ET LA ROBOTIQUE

La liberté ne se décrète pas, elle se prend. Les lois sont censées protéger les aliénés de la liberté des profiteurs, des pollueurs et des nuisibles. L'intelligence artificielle est nuisible au devenir de l'humanité, mais de toute façon les rêves de ses promoteurs qui investissent massivement dans cette recherche, fondée sur une méconnaissance du mental humain, ne peuvent aboutir. Une machine informatique est vide de sens, elle ne comprend pas à la manière des hommes, elle fait selon ce que dictent ses algorithmes dont les signes, les codes, sont exclusivement reliés à des manifestations physiques. Elle n'a nulle besoin de conscience pour faire. Quant aux automates de technologie élémentaire, ce ne sont que des répondeurs avec une apparence humaine, dans les guichets, les postes d'accueil au public, les points de ventes, et la télévision où ils peuvent réciter un prompteur. Le sens de notre langage leur est inaccessible, donc ils seront peu efficaces et défaillants. La robotisation aboutira à une perte de qualité des services, à l'incommunicabilité, et à des pertes massives d'emplois humains. Mais les hommes pourront boycotter les entreprises qui s'en serviront, pour les faire revenir à de saines pratiques. Un robot n'a de sens et d'utilité que pour remplacer des tâches physiques, construire des objets en grandes séries, et non l'expression de la pensée qui est le propre de l'homme.